Un avortement est défini comme une perte gestationnelle avant les 200 semaines de grossesse. Cette perte est souvent associée à un processus de deuil et cette tristesse peut nous arner sur la capacité de retrouver une grossesse. Selon le type d’avortement, il peut avoir plus ou moins d’impact sur la fertilité future d’une femme.
Fausse couche ou fausse couche
Malheureusement, les fausses couches sont fréquentes dans les premières semaines de grossesse. La plupart d’entre eux sont causés par des problèmes génétiques ou chromosomiques qui compromettent le bon développement de l’embryon. C’est pourquoi plus la femme est âgée, avec une qualité d’ovocytes moins bonne, plus les chances d’avortement augmentent également.
Plus l’avortement est tôt, moins il aura d’impact. Les avortements dans les premières semaines sont évacués naturellement avec une hémorragie avec des caillots. Cependant, si la perte fœtale survient plus tard dans la gestation, il peut être nécessaire d’effectuer un curetage ou un curetage, une intervention chirurgicale ambulatoire pour gratter les parois de l’utérus et enlever d’éventuels restes embryonnaires.
Avortements récurrents
Avoir un avortement n’implique pas d’avoir des problèmes de fertilité. Un cas particulier, cependant, est celui des avortements récurrents, lorsque la femme subit 3 fausses couches ou plus consécutivement. Cela pourrait indiquer de possibles anomalies génétiques, des facteurs immunitaires ou des malformations utérines qui nuiraient à la fertilité et réduiraient les chances d’obtenir une grossesse à terme si elles n’était pas traitée correctement.
Trouver une nouvelle grossesse après un avortement
Parce que la plupart des avortements n’affectent pas la fertilité, le temps d’attente pour chercher une nouvelle grossesse dépend avant tout de la récupération émotionnelle de la femme après l’avortement.
Au niveau physiologique, bien que l’OMS recommande d’attendre jusqu’à 6 mois pour réessayer de concevoir,